Le "format Farrugia", classique : les amoureux courent toujours à la fin pour se retrouver. Avant ça, ils hésitent bien sûr, se posent des questions plus ou moins existentielles et attendues....
Heureusement qu'il y a les copines pour conseiller l'héroïne (Alexandra Lamy), voire la mettre en valeur : Julie Ferrier, avec sa coupe "piche à clébards" fait un peu sale à côté des deux autres tandis que Mélanie Doutey, un peu fadasse, ne sera pas nominée aux Césars pour ses dix lignes de texte. Bref, pas grand chose à en tirer... sauf peut-être...
Heureusement qu'il y a les copines pour conseiller l'héroïne (Alexandra Lamy), voire la mettre en valeur : Julie Ferrier, avec sa coupe "piche à clébards" fait un peu sale à côté des deux autres tandis que Mélanie Doutey, un peu fadasse, ne sera pas nominée aux Césars pour ses dix lignes de texte. Bref, pas grand chose à en tirer... sauf peut-être...
Julie Ferrier, au micro, se livre, et d'une belle manière. Rien d'original sur le fond, vraiment. Par contre, sur la forme, elle touche : les lèvres qui tremblent, la mine déconfite, je ne voyais que sa sincérité. Beau passage.
Jean-Paul Rouve, le prétendant principal d'Alexandra Lamy qui, le temps d'un film, aura été un tombeur rigolo crédible, presque beau quoi.
Petite critique pour finir : Alexandra Lamy, si rare au cinéma et aussi belle soit-elle (et elle l'est, c'est fou!), ne me surprend plus.. Ce registre de fofolle-comique-légère-enfulte ne lui va plus assez, elle vaut bien mieux que ces pitreries. Pour les sceptiques, prenez un quart d'heure, visionnez son "sketch" dans les Infidèles et laissez-vous donc convaincre.
Que quelqu'un lui propose quelque chose de différent, de fort, d'adapté à son talent car on risque bien de l'oublier à force.
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