Je vais commencer par toutes ces petites choses qui m'ont gêné.
D'abord, cette musique. Elle est là, en permanence, trop forte, comme dans un épisode des Revenants. Puis, il y a Vincent Lindon, version Belmondo sous UV, qui bouffe la moitié des mots et qui m'a fait froncer les sourcils une bonne vingtaine de fois. Enfin, il y a le rythme, assez lent, et le sujet, très glauque, qui n'est pas sans rappeler le thème de la saison 1 d'Engrenages. Bref, pas mal d'obstacles de forme (en plus des ellipses qui agacent et ne servent pas le récit), du recyclage de séries Canal, pour un résultat assez peu convaincant.
Une histoire glauque à base d'inceste et de maïs |
A noter également un bon passage dans le cabinet de l'avocat de famille, interprété avec beaucoup de justesse par Eric Dupond-Moretti lui-même.
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